Du pétrole...
Aujourd'hui, à Nantes, avait lieu une conférence intitulée "Energie-Entreprises : Agir ou Subir?". Il était question d'énergies fossiles et surtout de "l'après pétrole". Etait présent en tant qu'intervenant principal Alain Grandjean.
Co-auteur avec Jean-Marc Jancovici du livre "Le plein s'il vous plait", il nous a donné son point de vue sur la situation. Et il faut se l'avouer, elle n'est pas jolie jolie la situation.
Les plus grands spécialistes s'accordent pour dire que nous n'en avons plus pour très longtemps. Si nous continuons à consommer les énergies fossiles comme aujourd'hui, dans 20 ans, elles aurons disparu et nous n'aurons plus d'autre solution que d'utiliser d'autres sources d'énergie.
Or, qu'avons-nous?
D'un côté, le charbon qui, si il doit être utilisé en substitution, connaitra le même sort que le pétrole d'ici 50 ans (sans parler de l'impact sur le réchauffement climatique).
D'un autre, les énergies renouvelables. A aujourd'hui, elles ne représentent qu'une très faible part du marché, malgré une très forte croissance. Néanmoins, nous avons, au cours de cette conférence, eu quelques exemples de nouveaux projets plein d'avenir tels que les micro-algues ou les hydroliennes (et l'ensemble des solutions liées à la mer).
Par ailleurs, cette conférence était l'occasion de rappeler que l'hydro-électricité (les grands lacs edf, les barages, etc...) est la troisième source d'énergie en France. Chose que les français semblent oublier.
Malheureusement, le constat au final est le suivant. A aujourd'hui, nous devons continuer d'utiliser le nucléaire. Une mauvaise nouvelle qui s'ajoutait à l'exposé assez négatif, quoique réaliste d'Alain Grandjean.
Conclusion : nous devons absolument réduire notre consommation d'énergie. Les deux gros postes, en entreprise, restent les déplacement et l'habitat.
Concernant l'habitat, nous voyons de plus en plus de solutions hémerger. Même si elles restent relativement annecdotiques, elles ont le mérite d'exister et de se développer.
Concernant les transports, nous devons explorer de nouvelles directions. Les agro-carburants ne sont pas la solution, le gaz non plus. Alors, en attendant, on peut toujours diminuer ses déplacements et prendre des transports plus propres.
Co-auteur avec Jean-Marc Jancovici du livre "Le plein s'il vous plait", il nous a donné son point de vue sur la situation. Et il faut se l'avouer, elle n'est pas jolie jolie la situation.
Les plus grands spécialistes s'accordent pour dire que nous n'en avons plus pour très longtemps. Si nous continuons à consommer les énergies fossiles comme aujourd'hui, dans 20 ans, elles aurons disparu et nous n'aurons plus d'autre solution que d'utiliser d'autres sources d'énergie.
Or, qu'avons-nous?
D'un côté, le charbon qui, si il doit être utilisé en substitution, connaitra le même sort que le pétrole d'ici 50 ans (sans parler de l'impact sur le réchauffement climatique).
D'un autre, les énergies renouvelables. A aujourd'hui, elles ne représentent qu'une très faible part du marché, malgré une très forte croissance. Néanmoins, nous avons, au cours de cette conférence, eu quelques exemples de nouveaux projets plein d'avenir tels que les micro-algues ou les hydroliennes (et l'ensemble des solutions liées à la mer).
Par ailleurs, cette conférence était l'occasion de rappeler que l'hydro-électricité (les grands lacs edf, les barages, etc...) est la troisième source d'énergie en France. Chose que les français semblent oublier.
Malheureusement, le constat au final est le suivant. A aujourd'hui, nous devons continuer d'utiliser le nucléaire. Une mauvaise nouvelle qui s'ajoutait à l'exposé assez négatif, quoique réaliste d'Alain Grandjean.
Conclusion : nous devons absolument réduire notre consommation d'énergie. Les deux gros postes, en entreprise, restent les déplacement et l'habitat.
Concernant l'habitat, nous voyons de plus en plus de solutions hémerger. Même si elles restent relativement annecdotiques, elles ont le mérite d'exister et de se développer.
Concernant les transports, nous devons explorer de nouvelles directions. Les agro-carburants ne sont pas la solution, le gaz non plus. Alors, en attendant, on peut toujours diminuer ses déplacements et prendre des transports plus propres.
